Parfois, Marie et moi nous retrouvons pour prendre un thé et papoter un peu.
Toutes les deux Parisiennes, nous aimons découvrir de beaux endroits et échanger sur nos projets, nos envies…
Du coup, on s’est dit qu’on s’amuserait à faire une interview croisée un de ces jours. Alors voilà : laissez-moi vous présenter Marie Lerouge, une auteure de romance qui a déjà dix titres à son actif et qui m’a fait l’amitié de se dévoiler en quelques mots.
Qu’as-tu fait le weekend dernier ?
J’étais à Dunkerque pour participer au premier Festival du Livre Romantique. L’occasion de rencontrer des lectrices du Nord, de la Belgique et même de la région parisienne. L’occasion aussi de retrouver des amies auteures et de découvrir l’attachante ville de Dunkerque. J’ai été très émue également de me trouver sur la plage de Malo les Bains, d’où mon grand-père a été évacué vers l’Angleterre avec une partie de l’armée française lors de l’opération Dynamo que le film « Dunkerque » a magnifiquement illustrée.
Quels sont tes projets ?
2020 sera pour moi l’année de la Russie avec deux projets de livres en autoédition à paraître en janvier ou février : l’histoire d’une passion intitulée « L’amant de Russie » et « Les tribulations d’une expat à Moscou », un récit humoristique largement inspiré de ma propre expérience. Je travaille aussi sur la suite de « En solo pour le meilleur et pour le pire », ma première comédie romantique auto-éditée parue en mars et qui a séduit de nombreux lecteurs.
Où puises-tu ton inspiration ?
Partout ! Je suis très observatrice et de ma première vie de journaliste, j’ai gardé l’habitude d’être aux aguets de ce qui se passe et se dit autour de moi. Les magazines, féminins en particulier, sont également une source d’inspiration précieuse. Par exemple, l’idée de « En solo pour le meilleur et pour le pire » est née d’un article repéré dans ELLE sur les jeunes femmes qui préfèrent vivre en solo plutôt qu’en couple. Le cinéma et l’art en général sont également une source intéressante. Et puis, les voyages proches ou lointains dont je m’inspire souvent pour les décors de mes romans.
Quel parfum portes-tu ?
Je suis depuis toujours fidèle à « L’eau dynamisante » de Clarins qui est beaucoup plus légère qu’un parfum et donne vraiment la pêche. C’est d’ailleurs le PDG de la marque qui m’en a offert le premier flacon à l’occasion d’une interview.
Quelle est ton activité préférée en dehors de l’écriture ?
J’en ai trop : voyager avant tout, me promener dans les villes, randonner au bord de la mer, créer des objets, coudre, faire des albums photos, voir des films, des expos…
Quel est ton endroit préféré sur Terre ?
J’en ai beaucoup, le choix est difficile. J’ai vécu dans de nombreuses villes dans différents pays. La Russie est l’endroit qui reste ancré dans mon cœur. Aujourd’hui, j’ai la chance de me partager entre mes deux lieux préférés : Paris et mon coin de Bretagne au bord de la mer.
Quelle est ta drogue favorite ?
J’en ai deux : chocolat noir et thé.
Quelle est ta principale qualité ?
La ténacité.
Quel est ton principal défaut ?
L’obstination qui est le versant négatif de la ténacité.
Quel est ton idéal masculin en dehors de ton mari ?
L’humour est pour moi la qualité principale de l’homme idéal. On doit le percevoir non seulement dans ses propos, mais dans sa façon de ne pas se prendre au sérieux et dans son regard pétillant. La plupart de mes héros s’inspirent de ce modèle, avec souvent une faille cachée qui donne envie de les aimer encore plus.
Physiquement, j’ai plutôt un faible pour les grands bruns aux yeux bleus, pas trop musclés ni tatoués.
Que trouve-t-on sur ta table de chevet ?
En haut : une pile de livres à lire ou en cours de lecture qui s’effondre souvent, une liseuse Kindle, un réveil qui laisse échapper ses piles, une bouteille d’eau, une boite de Kleenex, un mug de thé vide, des lunettes.
En bas : une pile de magazines à lire, d’autres livres, des écouteurs, une boîte à couture, un ouvrage de broderie.
Quel est ton mot préféré et celui que tu détestes le plus ?
Pour l’assonance, j’aime les noms de fleurs : asphodèle, jasmin, tubéreuse…
Pour la signification : tolérance, une vertu que je m’efforce d’appliquer et qui devient plus facile à éprouver avec l’âge.
Je déteste les mots grossiers, les injures.
Si tu devais te réincarner en animal / végétal, ce serait quoi ?
Un oiseau de mer pour la liberté qu’il incarne. Disons une mouette plutôt qu’un goéland.
Pour découvrir les 50 premières pages de Et demain tout ira bien, cliquez ici.
Pour découvrir En solo pour le meilleur et pour le pire, cliquez là.
Pour vous abonner à la newsletter de Marie, c’est ici !